Page:Basset - Contes populaires d’Afrique, 1903.djvu/434

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piocha la cour. On la regarda et on s’étonna. Alors elle défricha les ruisseaux et la pioche glissa.

— Non, c’est ainsi ! dit le caméléon.

L’araignée perdit la houe qui avait glissé ; elle courut, entra dans le ruisseau, de là dans la hutte, se serra contre le dos des assiettes et jusqu’à présent, s’y tient attachée. Auparavant, c’était un garçon fort, solide. Et elle fit tout cela à cause d’une femme !