du roi, p. 118. — Le maréchal se justifie auprès du cardinal, qui paraît satisfait, p. 119. — Le roi revient vers Paris avec la cour, ibid. — Il vient de Versailles voir la reine-mère au Luxembourg, p. 120. — Le maréchal se déclare ignorant des mésintelligences précédentes entre la reine-mère et le cardinal, ibid. — Le 10 novembre la reine-mère rompt violemment avec le cardinal en présence du roi, p. 121. — Le soir le roi réconcilie le cardinal avec Monsieur, p. 122. — Froideur de Monsieur dans cette réconciliation, ibid. — Le roi part pour Versailles le 11 novembre, p. 123. — Ignorance prolongée du maréchal et de la princesse de Conti, ibid. — Le maréchal apprend la nouvelle de la rupture seulement le 11 novembre, en dînant chez M. de Créquy, p. 124. — Il apprend aussi que Mme de Combalet a pris congé de la reine-mère, ibid. — Le comte de Soissons le mène le soir chez la reine-mère, ibid. — Il va le 12 à Chaillot, ibid. — Il apprend que Châteauneuf est garde des sceaux à la place de Marillac, ibid. — Lopez l’engage à aller voir le roi et le cardinal à Versailles, ibid. — Châteauneuf lui donne le même conseil, p. 125. — Il va le 15 novembre à Versailles, ibid. — Le roi le reçoit mal, ibid. — Malveillance de Saint-Simon pour lui, ibid. — Le maréchal s’excuse de diner chez le cardinal, qui s’en offense, p. 126. — Le roi continue à faire mauvaise mine au maréchal, ibid. — Puylaurens et Le Coigneux s’accordent avec le cardinal, et Monsieur se rapproche de lui, ibid. — Réconciliation apparente entre la reine-mère et le cardinal, p. 127. — Arrestation du maréchal de Marillac, ibid. — Faveurs et disgrâces, ibid.