verrons à Paris sans discontinuer, comme il a été convenu. Je conserve ma liberté entière.
Bah ! tu sais, nous autres, les mères, dans les affaires de cœur !… D’ailleurs, je ne manque pas de courage. Je vais avoir à m’occuper du déménagement.
Tu ne seras pas seule. Tu as tout de même Gabrielle et Max.
Oh ! Max… D’abord, il passe ses examens. Et puis, maintenant que tu ne seras pas à la maison, on ne le reverra plus beaucoup, ce garçon !
Pourquoi ? Il viendra voir sa mère de temps en temps, comme d’habitude. Il viendra dîner. Ça te fera un peu de gaieté dans la maison ici et à Paris, car Gabrielle toute seule, évidemment, je reconnais que ce n’est pas fou-fou…
Écoute… on entend une auto.
C’est lui ! Reçois-le.
Quoi ! tu t’en vas ?
Naturellement. Je ne veux pas avoir l’air de l’attendre !