Oui, la promenade du dimanche… toujours… toujours.
L’oiseau… les livres…
L’oiseau, les livres… toujours.
Et qui sait ? un jour, Grâce… un jour peut-être, un enfant…
Un enfant… Ah ! mon Dieu. !…
Qui sait ! ce grand espoir-là n’est pas encore abandonné… Évidemment, ce serait la gêne, plus grande… mais songe, un petit être tout rose, entre nous deux, qui te tendrait les bras… qui te dirait : « Maman… » Ah ! comme la vie serait métamorphosée, alors !
C’est un rêve, Claude… La destinée n’aura pas voulu cette chose.
Enfin, espérons, espérons toujours… Il y aura des rayons de soleil sur les jours gris, tu verras.
Mon pauvre enfant ! tu ne peux pas savoir comme je souhaite, de toutes les forces de mon cœur, que tu sois heureux et que la vie te soit