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BOUDIER.
Eh bien ? c’est très drôle ! De quoi vous plaignez-vous ?
MADAME LAUB.
Oh ! la jolie terrasse, par là… En été ce doit être charmant.
LAUB.
Et le cavalier, nous suit-il ?
MADAME LAUB.
Il ne va pas nous perdre, au moins ?
POLICHE.
N’ayez pas peur ! Je lui ai crié de tourner à droite, vers l’hôtel François Ier, mais il ne pouvait pas nous suivre à moins de cinq minutes de retard.
ROSINE.
Il doit être frais sous la pluie !…
THÉRÉSETTE.
C’est surtout son cheval que je plains.
LAUB.
Tant pis pour ce monsieur ! S’il pouvait attraper une bonne pleurésie !… Il a voulu faire de l’épate et nous accompagner à cheval… Il n’avait qu’à monter en auto comme tout le monde…
ROSINE.
Mais je ne l’avais pas invité, mon cher.
LAUB.
D’où le connaissez-vous, cet individu ?… Il me porte sur les nerfs.