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Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 4, 1922.djvu/197

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ROSINE.

Il est très gentil.

LAUB.

Je crois bien ! Il vous fait de l’œil à toutes les trois ! (Les dames s’exclament.) Et vous vous jetez toutes à sa tête, avec un entrain !

ROSINE.

Je vous l’ai dit, j’ai rencontré ce monsieur avant-hier chez Simone Verneuil. Il a manifesté l’intention de nous accompagner à cette rencontre à l’épée. Je ne pouvais pas l’empêcher.

LAUB.

Vous n’allez pas le réinviter, hein, Rosine ? Vous avez la manie de vous adjoindre toujours le premier raseur venu.

ROSINE, (montrant Boudier.)

C’est pour monsieur que vous dites ça ? Vous êtes aimable !…

LAUB.

Oh ! pas du tout ! Monsieur est tout à fait charmant, bien élevé, et puis c’est un ami intime à Poliche !

BOUDIER.

Et d’ailleurs, rassurez-vous, je ne troublerai plus longtemps votre petite société où je remercie Madame de Rinck de m’avoir si bien accueilli… Je repars dans quelques jours pour Lyon !

POLICHE, (revenant de la salle à manger.)

Tu repars pour Lyon, Boudier ? Quand, vieux copain ?