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ACTE QUATRIÈME
Une buvette de chemin de fer, dans une petite gare aux environs de Paris. À gauche, la voie. Au fond, par les carreaux du buffet, on voit le prolongement de la voie, les rails qui luisent, les signaux, la plaine et un ciel gris de crépuscule d’automne. — Dans la salle, deux ou trois consommateurs, un paysan, un homme et la dame du comptoir, un pioupiou, — Didier et Rosine à une petite table.
Scène PREMIÈRE
ROSINE, POLICHE, UN GARÇON, UN HOMME, UN PAYSAN, UN PIOUPIOU, puis LA FEMME DE CHAMBRE, UNE FEMME, UN EMPLOYÉ.
LE GARÇON, (criant.)
Un bock !
L’HOMME, (au paysan.)
Alors, bonsoir. Si vous voyez Poudrette, dites-lui bien que je serai au greffe demain, à deux heures.
LE PAYSAN.
Bien, monsieur Maillard. Entendu.
(L’homme s’en va.)
LE PIOUPIOU.
À quelle heure pour Paris ?