main, ce sera un autre bouquet, et puis ce sera encore un autre… Et je trouverai encore des lettres dans tes poches… et dans tes paquets de tabac… Ah ! ce n’est pas une vie !
Mais je suis désolé, mon chouchou adoré, je suis désolé. C’est de la folie de se mettre dans des états pareils… Ne pleure pas, voyons ! Je te jure que je ne répondrai pas à l’envoi romanesque de ce bouquet. Je te jure que je me moque de Myrtille Deneige, comme de n’importe quelle autre poule. Je n’aime que toi. Embrasse-moi, embrasse-moi vite…
Il ne peut pas sortir sans récolter le suffrage de toutes les femmes !… S’il ne vivait pas retiré, ah ! tu as raison, Loute, quelle célébrité il deviendrait !
Vous n’avez qu’une ressource, Mademoiselle Aline, c’est de lui flanquer une bouteille de vitriol par la figure… si le cœur vous en dit !
Hé là !… Hé là !… Vous entendez ?… Journaux du soir !… Envoyez la bonne chercher un numéro ; faut absolument voir le discours de papa Rantz !
Nathalie ! Descendez acheter les journaux du soir tout de suite ! Vite !… Petite pochetée, va ! Regarde-moi. C’est fini, tu me crois ?