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MATELINN.

Qui frappe là ?

ALIETTE, (derrière la porte.)

C’est la petite Aliette qui demande ouverture.

Ouvrez-moi votre porte,

vous me l’avez ouverte souvent.

(Silence.)
ERVOANIK.

Je vous prie, ma mère, ouvrez-lui la porte.

(Maria, après une hésitation, va ouvrir.)



Scène IV

ALIETTE.

Salut et joie à tous dans cette maison.

MATELINN, (bourrument.)

Bonjour à vous pareillement.

ALIETTE.

Donnez-moi un escabeau pour m’asseoir.