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- Et je me rends partout :
- Je ne sais sur mon âme
- Comment suffire à tout,
- Car du matin au soir, je n’entends que cela :
- Vertigo ci ! Vertigo là !
- Vertigo !
- Figaro !
(Parlé sur un point d’orgue.) Ah ! c’est-à-dire, non… je me trompe… pas Figaro… Vertigo. — Quoique si je voulais bien, je vous trousserais tout aussi bien que lui une petite sérénade… — Non ?… Eh ! bien, jugez-en !…
SÉRÉNADE.
I.
- Gentille femme de l’alcade,
- Digue digue da !
- Écoute cette sérénade,
- Digue digue da !
- Ah ! parais à ta balustrade,
- Digue digue da !
- Et viens recevoir mon œillade,
- Digue digue da !
- Ah !
- Digue digue da !
- Pa-
- Digue digue da !
- -rais à
- ta ba
- lustra
- de !…
II.
- Toi la plus belle de Grenade,
- Digue digue da !
- Ne redoute point d’algarade,
- Digue digue da !
- Mes amis sont en embuscade,
- Digue digue da !
- Prêts à jouer de l’estocade,
- Digue digue da !
- Ah !
- Digue digue da ! etc.
- En tous les métiers, moi, j’excelle !
- À tous les emplois je suis bon…
- Voulez-vous, maintenant, au son des castagnettes,
- Me voir vif et léger dans des danses coquettes,
- Attention, m’y voilà !
- Regardez bien cela !
- Le boléro,
- Le jaleo