Page:Baudelaire - Œuvres posthumes 1908.djvu/278

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la libre-pensée. — Formule testamentaire. — Un pari de mang-eurs de Bon Dieu 1

18. — Impiété et prêtrophobie.

Encore la libre-pensée. — Encore les solidaires el les affranchis. — Encore une formule testamen- taire, pour dérober le cadavre à l’Eglise. — Un arti- cle de M. Sauvestre, de l’Opinion nationale, sur la libre-pensée. — Encore les cadavres volés. — Funé- railles d’un abbé mort en libre-penseur. — Jésui- tophobie. — Ce que c’est que notre brave De Buch, ancien forçat, persécuté par les Jésuites . — Une assemblée de la libre-pensée^ à mon hôtel, au Grand Miroir, — Propos philosophiques bel- ges. — Encore un enterrement de solidaire sur l’air : « Ah ! Zut ! alors ! si Nadar est malade. »

Le parti clérical et le parti libéral.

Egalement bêtes. — Le célèbre Boniface, ou De Fré (Paul-Louis Courier belge), a peur des reve- nants, déterre les cadavres des enfants morts sans sacrements pour les remettre en terre sainte, croit qu’il mourra tragiquement comme Courier et se fait accompagner le soir pour ne pas être assas- siné par des Jésuites. — Ma première entrevue avec cet imbécile. — H était ivre. — Il a interrompu le piano, en revenant du jardin où il était allé vomir, pour faire un discours en faveur du Proc/rês, et contre Rubens, en tant que peintre catholique.

— Les abolisseurs de la peine de mort. — Très intéressés sans doute dans la question, en Belgi- que, comme en France.

— L’impiété belge est une contre-façon de l’im- piété française, mais élevée à la puissance cubique.

— Le coin des chiens ou des réprouvés.