Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/130

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96. — Le Vin du solitaire.

97. — Le Vin des amants.

LA MORT

98. — La Mort des amants.

99. — La Mort des pauvres.

100. — La Mort des artistes.

Bien à vous.



À P0ULET-MALASSIS


Mais, mon cher ami, puisque je vous rends si malheureux, et que vous êtes si impatient de venir à Paris, venez donc, sans vous inquiéter de la dernière feuille. Le soin minutieux avec lequel je corrige est une bonne garantie ; d’ailleurs, je vous soumettrai mon épreuve, avant de la renvoyer avec bon à tirer.

Quant à ce que vous m’avez écrit hier, en me renvoyant un bout de placard, c’est inintelligible. Il faut que vous ayez un metteur en pages bien entêté, ou bien étourdi. Mes chiffres romains sont toujours exacts. Il faut suivre l’ordre nouveau qui est indiqué par ces chiffres. D’ailleurs, à la fin d’une de mes lettres, je vous avais écrit la fin de la table des matières, avec les numéros d’ordre. Vous pouvez donc en référer à cette lettre, si votre metteur en pages s’est obstiné à conserver l’ordre primitif.

Aujourd’hui, je vous envoie Le Vin des chiffon-