niers, que j’ai recopié pour la commodité de vos ouvriers qui auraient trouvé le placard vraiment trop surchargé.
Arrivez à Paris avec la table des matières, mais ne la faites pas tirer sans que je l’aie lue.
Bien à vous.
Vous avez pris pour une blague ce que je vous ai écrit sur la santé de mon cerveau.
Vous ne voulez donc pas me montrer la couverture ?
Vous aurez l’obligeance de me renvoyer toute la copie de la dernière feuille, et, si vous êtes à Paris, M. de Broise voudra bien y penser.
Décidément, mon cher ami, pourquoi ne m’écrivez-vous pas ? Est-ce que vous avez juré d’introduire ou de laisser beaucoup de fautes dans la dixième feuille, dans le carton complémentaire, et surtout dans la table des matières ? Qu’est-ce qui vous empêche de me communiquer de bonnes épreuves, après corrections faites, et avant le tirage ? Mais il est impossible de jamais obtenir de vous quoi que ce soit de régulier.
Bien à vous.
L’avez-vous reçue seuleuîent, cette table des matières corrigée ?