voir produit un livre qui ne respire que la terreur et l’horreur du mal. J’ai donc renoncé à me servir de ce moyen. S’il faut me défendre, je saurai me défendre convenablement.
Aussi bien, Monsieur le Ministre, pourquoi ne vous dirais-je pas avec candeur que je vous demande votre protection, en tant qu’il soit possible de l’obtenir, à vous, qui, par votre esprit, encore plus que par votre position, vous trouvez le protecteur naturel des lettres et des arts ? Et les lettres et les arts, malheureusement, ne se sentent jamais assez protégés. Mais croyez bien que s’il ne vous est pas loisible de me l’accorder, je n’en persisterai pas moins à me regarder comme votre obligé ; je vous prie donc d’agréer les sentiments de gratitude et de respect avec lesquels je suis, Monsieur le Ministre, de votre Excellence, le très humble et très obéissant serviteur.
Sérieusement, j’ai besoin de savoir tout de suite quel jour vous serez à Paris.
Ici, pas de saisie. — Qu’est-ce que c’est que la saisie d’Alençon ?
Ici, conflit entre les deux ministres, Moniteur et Intérieur. M. Abatucci a dit : Vous voulez donc entraver l’attaque ?
Je vous supplie de ne pas bouger et de ne faire