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CHARLES BAUDELAIRE

J’ai enûmeçulsL Danse macabre. Selon Calonne, tout va bien.

Sitôt que ’]dMTd\fini les Curiosités^ je vous aver- tirai, et je décamperai pour Alençon, où je ne veux plus accepter votre trop belle hospitalité. — J’ai fini Tétude sur Gautier. Je crois qu’il sera content, ainsi que vous et tous nos amis.

Tout à vous.

Mes amitiés respectueuses à votre sœur et à votre mère. Quant à de Broise (entre les mains de qui vous ne vous mettrez jamais par ma faute) ^ char- gez vos deux poing-s de fluide magnétique (poéti- que], et frappez-le alternativement de toute votre force dans le dos et dans le plexus solaire. Cela pourra être considéré comme une espèce d’envoû- tement, et, selon le rituel de la haute magie, tous les envoûtements secondés par une puissante volonté doivent réussir. Mais que cette opération douloureuse et bienfaisante ne vous empêche pas de lui présenter mes amitiés.

A POULET-MALASSIS

i6 Février i85().

Comme je suis dans une pauvreté absolue, crai- gnant quelque imprudence de ma part, je viens de remettre vos i.o35 fr. à mamère, en lui disant que c’était un dépôt.

Permettez-moi un reproche. Comment pouvez-