fjuaiit auxcomplimentsque lu me fais, ma vanité profile pour le faire lire quelques morceaux que iîs doule, lu n’as pas lus, et qui, avec quelques autres inédits, ont rajeuni, je Tespère, mon livre flétri. Tu pourras constater que j’écoute peu la cri- tique et que je m’enfonce opiniâtrement dans mon lécrottabilité.
Maintenant, je reprends la lettre. Oui, je désire pour moi que tu réussisses dans tlTaire Moreau, mais je suis convaincu aussi qu’il sera également agréable d’avoir de bonnes reuves, d’après ces peintures singulières. Tu ne connais donc pas ces gravures sur bois, iprès Réthel ? La Danse des morts en 184S se —id maintenant i fr. (six planches). La Bonne >rt et L’Invasion du choléra se vendent, je crois, l’r. Tout cela, chez un libraire allemand, qui vend issi des gravures allemandes, rue de Rivoli, près 1 Palais-Royal.
Ouelques personnes m’ont dit que Réthel avait
coré une église (à Cologne peut-être) ; d’autres
mont dit qu’il était mort ; d’autres, qu*il était
enfermé dans une maison de fous., l’ai les œuvres
lées ci-dessus, et je voudrais savoir, outre les
riseignements biographiques, s’il y a d’autres
ivres gravées.
L’artiste allemand, dont je ne sais pas le nom, a été indiqué par Ricard, qui prétend qu’il a un lent tout à fait propre aux illustrations et aux )nlispices. Il faudrait voir cette Chasse. Certai- ment oui, j’avais pensé à Doré, et je ne me rap-