ment intégral du reste d’Eurêka. Une querelle est survenue, étrangère à l’argent. Bien que j’aie à me plaindre de ces gens-là, laissez-moi le temps de l’avertir de cette délégation. Si, par rancune, — il est si bête ! — il retirait sa parole et ne voulait payer qu’après impression, sachez que l’avant-dernière partie paraît dans les premiers jours de Mars, et la dernière, dans les premiers d’Avril.
Expédiez-moi vite, à moi ou à C, les 400 fr., qui se réduiront sans doute à 394.
J’écrirai demain à de Rode. Et puis vous signifierez la chose, si bon vous semble, autrement que par une lettre.
Je n’ai pas besoin de vous dire que je souffre de l’ennui que vous allez éprouver.
Quant à votre excellent conseil, il sera suivi.
P. S. — Je ferai cependant demain quelques efforts pour emporter le tout de chez Gélis, mais je n’y compte guère.
À CHAMPFLEURY
28 Février 1860.
… Si vous voyez Wagner avant moi, dites-lui
que ce sera pour moi un grand bonheur de serrer
la main d’un homme de génie, insulté par toute la
populace des esprits frivoles…