Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/308

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gens hostiles, mais de ceux qui vous sont attaciiés, disent de vous : Ces messieurs ri entendent absolu ment rien à la publicité. Sainte-Beuve me dit avant-hier : Où est Malassis ? — A Alençon. — Mais il est fou ! — C’est pour finir le livre Hatin. — A quoi donc sert un protêt a-t-il finalement ajouté.

Insensé que vous êtes, vous me demandez où en est mon livre ! Est-ceque je m’en occupe ?… Je sais que Buloz et Montégut ont promis un gros travail, mais pour quand ? Montégut prétend être en arrière pour plusieurs mois. Sainte-Beuve a promis, mais pour quand ?

Je résume : je crois que Lemercier et Gélis vous sont possibles, mais ils ne seront possibles par moi que plus tard. Le 26, ou après le 20, je re- verrai Hetzel. — Je crois que Gélis vous est possi- ble, à la condition qu’il y ait, maintenant^ peu de chose chez lui, et que les billets à escompter nr sentent pas la complaisance.

Tout à vous. m

Le portrait, et la réclame n’ont même pas paru dans U Artiste.