Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/323

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I.F.TTKES l8Gl 819

’eut Otre sa susceptibilité s’apaisera-t-elle, et ,..’iL-être vaudrait-il mieux tout faire rentrer chez lui, d’autant plus qu’il sera chargé plus tard de manœuvrer pour moi l’affaire du Poe illustré avec Hachette, et qu’il fera pour moi ce que vous faites maintenant vous-même.

Vous pouvez même lui montrer cette note, si vous le jugez à propos. En dehors de cette com- binaison, je ne vois que Hetzel, d’un côté, et, de Pautro, Didier, pour les Contemporains, — à qui j’avais pensé, après le rebuffade de Michel.

Dans ce dernier cas, traitez sur la base faite pour Babou : 800, par volume, — pour une édition.

Fout à vous.

A POULET-MALASSIS

Mon cher ami,

oi je n’avais pas été très s’hneuseimnt malade depuis trois jours, vous m’auriez vu.

Venez me voir dans un délai de trois jours ; je suis obligé, si mal que je sois, de poursuivre vive- ment une besogne arriérée ; et je pourrai, ^1 même temps, satisfaire, je le présume du moins, votre impatience à l’ég^ard des 800 fr.

S a tout pris, en me disant : Puisque la

revue devait me remettre cet argent, uous pren- drez, pour vous, l’argent de la revue, y dÀ reçu une somme de 200 et quelques fr., que j’ai dépensée dans ma terreur. Maintenant, l’argent de la revue (le 1 5 et le aa) vous appartient ; cela est clair. îl