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A MONSIEUR ANCELLE
Dimanche, 28 Octobre 1864. Cher ami, Je commence par vous remercier très cordiale- ment de tout ce que vous voulez bien faire pour moi. Seulement, je suis très perplexe. D’abord, je ne montrerai votre engagement qu’à la dernière rémité ; par exemple, si on me tourmente, ici, Uriiis la semaine qui commence demain. Je ne vois pas d’autre moyen de me tirer d’affaire que de tourmenter mon homme d’afïaires, pour qu’il con- clue au plus vite ; et cependant// eût été avanta- gpAU : de ne pas me presser ; ensuite, d’écrire à Villemessantque,mrt/^re’ ma répugnance à laisser paraître mes articles^ pendant mon séjour ici, je V • autorise immédiatement.
! ^nfin,j’irai à Paris etje tomberai sans doute chez
is le 3i ou le I®^ Si je trouve de Targ-ent chez
lemessant,ouchez mon libraire, je l’appliquerai
V dettes de Bruxelles, mais cela ne vous dispen-
a pas de tenir votre parole (600 fr.), puisque je
linaisà d’autres créanciers l’argent que jecompte
trouver à Paris. Alors, je retournerai à Bruxelles,
où je me fiche parfaitement des mines sombres que
rencontrerai ; j’irai prendre de nouvelles notes à
Anvers, Bruges et Malines (six jours), et je retour-
n(Mai ; ’i îTrmniMir. i ! nîni"l ! ;ït<’rn<Mit î »^’ni-Alre par
Comprenez bien mon embarras : ou aller cher-