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Seulement, à propos du pupitre (qui doitêtre mal irrangé, c’est trop bon marché), Madame Desoye vous a-t-elle rendu la clef, et la serrure est-elle arrangée, ou bien en a-t-on mis une neuve ?
Relativement à Jacquinet, je vous affirme, de la manière la plus positive, que je vous ai envoyé cette note, dans ma première lettre. Vous Taurez laissé tomber, en ouvrant la lettre. La voici, de nouveau, recopiée.
Ainsi, quand je retournerai à Honfleur (si jamais je revois Honfleur !), c’est chez vous queje ferai faire mes emballages, pourvu qu’il y ait des emballeurs i Neuilly.
Je connaissais Taffaire R. Un des amis de
1, complètement inconnu de moi, excepté par
>es œuvres, a jugé à propos de copier pour moi
un des tableaux de Goya au palais de Tancienne
duchesse d’Albe. Naturellement,j’ai écrit à Madrid
pour le remercier. Je reçois quelquefois, de fort
loin, et de gens que je ne connais pas, des témoi-
nages de sympathie qui me touchent beaucoup,
iiais qui ne me consolent pas de ma détestable
iiisère,de mon luimiliante situation, n »surtout de
lies vices.
La lettre de Proudhon ne vous a pas assez frappé, et vous le traitez de fou, beaucoup trop lé- (ùrement. Je vous ai envoyé cette lettre, pour vous
- )rouver que Proudhon, quoi qu’on ait dit, n’aoait
jamais varié : à la fin de sa vie, comme à ses débuts, les questions de production et de finance •taient celles qui l’obsédaient particulièrement.