LETTRES l865 421
est de Louis Blanc. Je parle de L’Etoile Belge. L*avez-vous reçue ?
Quand les Histoires grotesques et sérieuses seront nventeje vous enverrai un bon pour un exemplaire.
Mes respects à Madame Ancelle.
Bien à vous.
A la fin de Mars, je vous prendrai encore i5o fr., et puis je crois sérieusement qu’alors je reviendrai. — D’ailleurs, une g-rande partie des manuscrits est à Honfleur. Il faudra que j’aille les chercher.
A SAINTE-BEUVE
i5 Mars i865. Cher ami,
Je profite des Histoires grotesques et sérieuses
pour me rappeler à votre souvenir. — Ouelque-
"* >is, le matin, je cause de vous avec M. Mnller, de
lège, à coté de qui je déjeune, — et, le soir, après
dîner, je relis Joseph Delorme, avec Malassis.
)écidément, vous aviez raison : Joseph Detorme,
est Les Fleurs du Mal de la veille. La co^pparaison
^t glorieuse pour moi. Vous aurez la bonté de ne
pas la trouver offensante pour vous.
Et la préface de la Vie de César ? Est-ce assez rédestinatieni Tout à vous.