Page:Baudelaire - Lettres 1841-1866.djvu/507

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lalion pour un certain temps. Dans l’autre cas, on donne à l’auteur tant par exemplaire. M. Lécri- vain prétend que MM. Garnier préféreront, s’ils traitent avec moi, traiter pour dix ans. Mais alors, "••and Dieu ! quelle somme demander ?

J’ai rédigé la note que vous me demandez pour M. Hippolyte Garnier ; mais avant de vous l’en- voyer, il faut prendre un parti, mûrement réfléchi, au sujet de Lemer ; alors seulement, je prierai Sainte-Beuve de revenir à la charge.

Présentez mes respects à Madame Ancelle. Mais, je vous en supplie, répondez-moi.

Bien à vous.

A MONSIEUR ANCELLE

Mardi, 3o Janvier 1866.

Mille remerciements pour tout votre zèle ; vous

JUS en tirez beaucoup mieux que je ne croyais.

J’ai d’abord lu votre lettre à M, Lécrivâin qui part demain, et que vous recevrez sans doute, le 2, ’^>n le 3, ^

Voilà, à peu de choses près, le résultat de notre conversation, et, conséquemment, le sujet de votre future conversation :

I. — Les arrangements futurs dont vous me parlez

int-ils une réalité fdLU moins une réalité commencée,

il bien F exposé des espérances de Julien Lemer ?

. écrivain <infrnPr.U’ j ; a „,.pr /^-m^/’, l’aura peut-

ire tâté.