Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/1109

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fttieillc ï’ejptit* ’íore le sentiment d’Aule Gelle, qui pour corriger ce meírne pai- sage , quun Ignorant avoit mal cxpliqué. Le divin Platon, dit-n , tn quelqms endroits de ſes euvrages, milparle en faveur dwvin > rìentenf jtâs loikr cette infdwe yfvYogncYic 7 qui tst k ruim de l'ejjirit » & U mort de k tnemmre, wais bien cette honnejtc likrté qu’on prend d’en boìte quelque- fûis en comwgnïe, un peu plus que de mtume ; dou il enſuit, ajoutc-il, que l'on en comrend mieux Hntentìon á'mtruy, quen /en explique plus net-. Ument, & que la vivacité de rame tn est ûugmentée. En effet, comme il y a dans le bon vin certains cC prits vigoureux , qui agiffent in: sensiblcment; , il ne pas s’é- tonncr , s’ils tirent le nostre de íauoupiíTement où il est , pour le mettrc dans une bcllc agication i oy trouver etrange non plus, que cette ainjable liqueur , pourveu, S on nca abuíç point, déliç la. B b iiij