Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/1138

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3M SlFe les^ bìens de l’ïomme ont accoutumê de ſe rttirer aveclcan ſtmmes & leurs Enfans. Leur mvtu ° nement dépend plustosi de Itarcmke que des Loix. Car ils Fen ont aucu~ pes entreux, & le plus haut poimde leur Iustìet conſste en lapunition des y oleurs, qu ils hayjſent morttlkment. Jt/Jſi n’y auroìt - il guere d'ajſeumct p army des gens qui [ont peuſoi^neuxdt garder leur bien , & qui laifſent ton- tes choſes à /’dbandon 3 s’il falloit que le L arcin s’y meſât. Atttant que les autres hommes esïiment l’or , ou ſay- gent, autant ceux - ey le mépriſent. Le Uití&le mielſontltur nourriture »r~ difiaire. Vuſage des draps , de des su- tres étojſes de laine n’eji point psmj eux ; Et pour reſfler aux rígtteurs de V Hyver, qui eflgrand en leurpaïs, ìlt ſe ceuvrentordinaìrement de peaux de bestes, ou deſourrures. Avectoutcek neanmoìns quelque barbmequilſm. ble y avoir en euxdeurContinencemer- veilleuſe ne hiſſe pas de fomer lcurr- ttíœurs, d de bannirenùenment de leur