ïïtl Jlrue U Clétnence fait ejt'ìmg* que bien peuvent adoucir les l - & les rendre moins ſcveres°p‘ un moc , elle est proprement u vcttu des Princes ; Et voil , quoy dans la definition qu’en donì ne Seneque : La Clemence, dit-il tst me bontê dont ufi le Pmcetn^ finJùjet, en ordonnmt des petnes : il est à remarquer, que ces mots En ordomant, ſonc vrays d’un coté' mais qu’il y faut ajoûter de hu! tre , En remettmt les feines : dau, tant que la Clemence le fait d’or- dinaire. Ce dernier poìnt, ajoutç lç xneſme Philoſophe, regarde leSn* •verain , farce qu’il n’y a rìen de tkt bem à ceux qui jont en émmatefa. tune , que de donner permjjim <f; beaucoup de choſes & de’ne la demm. der d’aucune ; Et de quelles choſes stonc ,• car il ne faut pas que ce ſoit de toutes. II y en a pluſieurs que la Loy défend de violer, & particulierement celles ou le Pnn- ce est iiìtetcffé. Tcllçs ſont pas
