cherlr un Tnnce. *4 trop grande sevcrite en la^pum- tion des coupablcs, fut misi a morc en plein jour par les ſoldats de ſes gardes. Ainsi de nçtte temps meſme, Demettius DucdeMoſ- covie jſervit de Vi&imea íes plus ovands Conftdents , qui dans U Opitale de ſon Emptre > l’affaíïi** nerent le premier jour de ſes nop^, ces. Ce qui ne fût jamais arrivé „ si au commencement de ſon re- gnc il eut traitté plus doucemenc quil ne Est ces peuples cruels,ô£ ’barbares de leur naturel. De ít gtands malheurs pouvoient appa- ramment être destournez, par Ii ■clemence ,que l’Empereur Diocîe- tian nappelie pas ſans raiſonkúut ihjtn orntment duPnnce, & Sene- que-, ungnnd remede contre la craìn- 'fe : Auíïi a-t’elle toujours été pro¬ uue \ tous les Princes , parmy st k s il s en est trouvé p\u- ■sieurs qui l’on euë en ſinguliere «wommeudatioa. û Lij
Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/128
Apparence