Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/136

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IJl disgours xvi. ^«e le Conseìl vautflus que la Force. CE ni a pas cfte ſans raiſon , qu’un Ancien a comparé le ©ouvernement d’un Etat, àceluy d’un grand Navire. Car bien que dans un vaiíïèau il y ait pluíiéurs offices , ils n’onc pourtanc qu’une même fin,& dépendent tous du ſoin d’unſeul homme. G’est le Pilotc qui tient le gouvetnail , qui prc- voit les tempestes, & qui par ies bons avis quil donnc , y met íi bon ordte , qu’il empéche le Na¬ vire & les Navigateurs de faire naunage. De meſme, les Officiers dun, Royaume estanc divcrs en, nombre , & en dignité , ils rele- vem neanmoins d'un plus grand. CUx » ^ %ìt détourner piiu-