Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/137

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K Que le Conſeil\tI d«nrnetït l’orage & Ies d , i t ’ !'CCr0KtC >« fott„J publiqucs , conſerver le bien d particuliers, affermir cc qui eft f* 1 blc de fòy , & maintenir covitei 1 choſcs en ordrc , par ſon conſeil & par ſa bonnc conduite. Eneffer L’experíence nous apprend , quelçì plus importantes affaires neſubft, ftent que par le Conſeil. Auffi rfy 1 a-t’il rien íì divin entre les hom¬ mes , que de le ſçavoir donner;ny, I rien fi profirable ,,que de le ſra. 1 voir prendre.. C’est le fondement 1 de toutes îés bonnes aétions,\t1 des entrepriſes les plus hautes.\tI JUt Force'sam Canseìl ,’se âejj'aìt dd- lc-mejme~. II n’en faut point de plus forte fcreuve que celle que nous en avon* dans l’Histoire, où il eft dit, qu’ì faute d’avoir été bien conſeillé, Xerxes mit en vam fut pied ce prodigieux nombre de gens dè «uetrc } qui épuiſoient les rivic*