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discours III. Suìl ne fdutjmds offencetferfonnt de fùt) ny de parele- A Yant representé cy-devant J\ Nemesis fous une autre íigu- Te ,icne iaiílcray pas toutesfois d en parler derechef, puis qu’elle ſern» ble m’y convier, de lafaçon qu el¬ le ſe Voici repreſcntée dans cet Em- blêrae^ Je diray donc , que cette íDeeíſe, autrement appellée Adra- ■stre 8i Rhamnusie , ést destinée, à cc que feignent les Poëtes, à van- •gertoute ſorte de tnauvaifes actions, } ■& particulierement les infolentcs çatoles. Comme ceux qui s’y plai- lent tìc peuvènt jamais ſe dérober • a ſa cofìnoiffarice ; ainíì eíì-il impof- quils s’excmptent de la pusti- îl0n Ru,clle a coutume d’ea faire*
