Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/210

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frit yolontairement à prendre ce

-loin , & mesine à fournir de les deniers une partie des frais quise- roient neceíTaires pour la deftenle de cette place. Cotnme elle fuc donc afliegée par le propre Frere du Roy ,, qu on appelloit Jean , qui par un excex d’ambition , Fe jettadans le party des Mores, les Aííìegés ne s’étonnerent de rien, & fe défendirent un aíſez long- temps avec une reſolution invin¬ cible. Mais enfin leur courage s’a- batitun peu par un fâcheux acci- àenr, qui fur la prife du fils d’Al- plionſe , que les Ennemis ſurpri- rent à lacampagne,& qu’ilsame- nercnc devant les murailles, pour le montrer. D’abord ìls menace- rcnt les Affiegez de le mettre en p'eces , s’ils ne rendoienc prom- scndrTntla W Us Con” lenntew enhn, pour r’avoir le Pri- onmer. Mais le Pere qui com- - n oit dans la place, &; qui n’a-