.npresentksmrUchmw-Soury. $7\t. ms à la Trompeue , comme dic fort bien l’Oraclc de la Sapien- ce divine. Tels hommes pehdes láches , doivent- eítre deteftcz., fcfuys de tout le monde. Quelle aflkurance pcut^on mctttc cu cux riayant ny foy ny patole? qui peut douter qu’vls ne trompent les au- tres, puis qu’ils ſe (ont premiere- menc trompez eux-meſmes ? car s’ils aimoient tant foit peu la Ve- rite , ils feroient en ſorte de n’a- voir commerce qu avec ceux qui la cheriiïent , 8c na trahiroient ja- mais leurs ſentimens , pour ap - prendre ceux des autres , afin de s’en-ſervir à leur nuire. Mais apres tout, quel bien leur en revient-
- il ? En ſont-ils plus enrepos, & les
en estime - t’on davantage ? Rien moins : Au contraire , leur mau~ vaiſe conſcience les geſne ſans c el¬ le, 5c ils ne paffentenfi.ii que pour Imposteurs dans ropinion ds wut emonde, qui ue les croìt jarnais,
