Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/565

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I ijS 'De U Concorde,\ti ſe deffissenc d’clles-mesmes.\t,1 On peut remarquer cncorc ' I xe qui fait que le Corps hu£ I ſe porte bien , e’eft l’égal tetJ rament duſec&du chaud,cora 1 me austi du Froid & de l’hutni^ 1 Ne voyons-nous pas^ que les gj des villes font la plûpart cotnpQ. 1 ſées de toute ſorte de perſonnes i à ſçavoit de pauvres & dericKe(l de jeunes &c de vieux,, de malj’ I des &í de ſains., deméchans&ju gens de bien ; Et que neanmoinsl 1 quoy quela jconditìon enſoitdif. 1 ferente , leur mutuelle Concot. I de les joint , òc les lie si éttoìte. 1 xnent., qu’il ſemble que ce ne íoit qu’une meſme choſe des uns & j des autres. Ce n’est pas encoreun des moindres biens de la Concoi- de , que celuy qu’en reçoit unì- verfcllemcnt tout le public, quand elle ſe rencontre parmy les Ma. •oritlrats, & parmy les Grandsicat alors , a leur exemple , les peti»