t 1VtM múttidle.\t161 i ncnt que par la concordc.\th les Romains luy élevoient autres- fois des Tcmples , cetoit ſeulc- ment pour obliger leur* Citoyens à s’y reconcilier, quand ils estoient mal enfemble , & a pofer au pied de ſes Autels , touccs leurs inimi- tiez leurs animoíitez ſecrctes, , Ceux que le defordre, Ienvìe tyi fèparez, comme ennemis,
- Ne pewvcnt mìeux rcgler leur <vic s
Flue par l’cxemple des Feurpiis. On leur voit partager entéelles Leurspetits fiins, & leurs travaux: Et de leurs peines mutuelles, ) Elles cucillent des ftuits égaux*- C eft par un inf'mct de natwe, dans leurs logisſouterraws P , Elles ſont pour leur nourriturc Vn merveilleux amas de gra':ns3, Comme avec une ardeur extrcme Le stnvaìllém en Ffié ; Nous en divons faire de me(me 2 Et detejlèr Içijiveîé.