Page:Baudoin - Recueil d emblemes Tome II.djvu/935

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

$ çhirìr un Vtlnct. îtf 'pouvant oster les biens 6i la vie , iïluy fauvc l’un ÒC l'autre çar unc orace particulierc.'Or il ríy a poinc de doute que úous ſouhaittons toutes ſortes de biens a eeluy que nous aimons ; comme au eontraU re , nous voudrions voir perdiï touta fait eeluy que nous háiíions* Adjoutons éncore à cecy, que pas la Clemence les Souverains & les Magistrats ſont par maniere de di- íe , rendus ſemblables à Dieu, qui en est; le Pere, Zc qui à ſon exem- ple nous recommande la Miſeri- corde ſur toutes choſcs. Que ft 1 Empire qu’ont les plus grands ſur les autres , les oblige d’en avoir du ſom c’est le devois du bon Pnnce , de ſe resserrer quelques- t *** ſa P>jissance , de mettre oes bornes a ſa Colere , 8c de ne Ç* chetcher à guerir un maí nit des remcdes violens, dc pcur n ,’,] ne hmte plstr^r .\t^ 3 tfimpoſer à ses ffotcc

  • m.u. J't! “s T«i>îs