Page:Bausset - Histoire de Fénelon, tome 3.djvu/643

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89. Fermeté de Fénelon pour le maintien de sa juridiction métropolitaine 
 257
90. Ses discussions avec l’évêque d’Arras 
 260
91. Lettre à ce prélat, sur la lecture de l’Écriture sainte en langue vulgaire 
 264
92. Affaire des Cérémonies chinoises. 1700 
 269
93. Fénelon est consulté là-dessus par le P. de La Chaise ; sa réponse à la consultation. 1702 
 273
94. Il fait connoitre le contenu de cette réponse aux supérieurs des Missions étrangères 
 282
95. Suites de cette affaire ; sa conclusion en 1704 
 285
96. Lettre de Fénelon au Pape, pour solliciter la béatification de saint Vincent de Paul 
 286
97. Remontrances de Féneļon à Clément XI, sur le refus des Bulles fait à l’abbé de Saint-Aignan. 1713 
 293
98. Résultat de ces remontrances ; les Bulles sont accordées à l’abbé de Saint-Aignan 
 299
99. Correspondance de Fénelon avec les ducs de Beauvilliers et de Chevreuse 
 300
100. Avis au duc de Chevreuse, pour la conduite de sa famille 
 302
101. Inquiétudes de Fénelon pour ses amis 
 305
102. Ce que Fénelon étoit en amitié 
 308
103. Comment il recevoit les avis sur ses défauts 
 310
104. Sa tendresse pour ses parents; sages avis à la marquise de Laval, sa belle-sœur 
 314
105. Avis à deux de ses parentes, qui avoient quitté leur province pour venir à la cour 
 320
106. Goût de piété dont ses lettres sont empreintes ; Lettres au marquis, son petit-neveu 
 323
107. Sages avis au marquis, pour sa conduite habituelle 
 325
108. Sur le soin modéré que le marquis doit prendre pour son avancement dans le monde 
 328
109. Avis sur l’usage du monde : le ménager par devoir, sans l’aimer par ambition 
 331
110. Tendre intérêt de Fénelon pour le marquis, grièvement blessé en 1711 
 335