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XI
’était fait. La ferme des Goron appartenait à l’usurier de Caudebec.
Par une bravade idiote, l’usurier et l’homme d’affaires étaient allés voir les Goron dans la maison d’où ils les chassaient avec une honnêteté légale qui suffisait à leur assurer de n’être pas jetés à la porte de la ferme.
Ils n’avaient pas fait une aussi bonne affaire, après tout. Le notaire avait dit juste. Cette fantaisie revenait à une