Page:Beaufils - Les Houles, 1894.djvu/83

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XV.

C’est une ville triste et morte
Où seule, dans le soir glacé,
L’ombre du glorieux passé
Rôde encor devant chaque porte.

La mer l’enclôt de toutes parts ;
Elle y mire ses maisons grises,
Et se livre aux baisers des brises
Au milieu de ses hauts remparts.