haut. En vérité, Bazile, on n’a pas plus de talent que votre élève.
BAZILE, stupéfait. Que mon élève !… (Bas.) Je Venais pour vous dire que le comte est déménagé.
BARTHOLO, bas. Je le sais, taisez-Vous.
BAZILE, bas. Qui Vous l’a dit ?
BARTHOLO, bas. Lui, apparemment.
LE COMTE, bas. Moi, sans doute : écoutez seulement.
ROSINE, bas, à Bazile. Est-il si difficile de vous taire ?
FIGARO, bas, à Bazile. Hum ! Grand escogriffe ! il est sourd !
BAZILE, à part. Qui diable est-ce donc qu’on trompe ici ? Tout le monde est dans le secret !
BARTHOLO, haut. Eh bien, Bazile, votre homme de loi ?
FIGARO. Vous avez toute la soirée pour parler de l’homme de loi.
BARTHOLO, à Bazile. Un mot : dites-moi seulement si Vous êtes content de l’homme de loi ?
BAZILE, effaré. De l’homme de loi ?
LE COMTE, , souriant. Vous ne l’avez pas Vu, l’homme de loi ?
BAZILE, impatienté. Eh ! non, je ne l’ai pas vu, l’homme de loi.
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