haut en marchant, puis
elle s’arrêtait, et fesait comme ça, de grand bras…. et monsieur le
Docteur lui fesait comme ça de la main, en l’apaisant : elle paraissait
si courroucée ! elle nommait mon cousin Figaro.
LE COMTE lui prend le menton.
Cousin…. futur.
FANCHETTE montrant Chérubin.
Monseigneur, nous avez-vous pardonné d’hier ?…
LE COMTE interrompt.
Bon jour, bon jour, petite.
FIGARO.
C’est son chien d’amour qui la berce ; elle aurait troublé notre fête.
LE COMTE, à part.
Elle la troublera je t’en répons. (haut) Allons, Madame, entrons.
Bazile, vous passerez chez moi.
SUZANNE, à Figaro.
Tu me rejoindras, mon fils ?
FIGARO, bas à Suzanne.
Est-il bien enfilé ?
SUZANNE bas.
Charmant garçon !
(Ils sortent tous.)
Scène xx
CHÉRUBIN, FIGARO, BAZILE.
(Pendant qu’on sort, Figaro les arrête tous deux et les ramène.)
FIGARO.
Ah çà, vous autres ! la cérémonie adoptée, ma fête de ce soir en est la
suite ; il faut bravement