il n’y aurait… il n’y aurait pas moyen de rester dans la maison.
Il sort en éternuant.
BARTHOLO. Dans quel état ce Figaro les a mis tous ! Je vois ce que c’est : le maraud voudrait me payer mes cent écus sans bourse délier…
Scène VIII
BARTHOLO, DON BAZILE ; FIGARO,
caché dans le cabinet, paraît de temps en temps, et les écoute.
BARTHOLO continue. Ah ! don Bazile, vous veniez donner à Rosine sa leçon de musique ?
BAZILE. C’est ce qui presse le moins.
BARTHOLO. J’ai passé chez vous sans vous trouver.
BAZILE. J’étais sorti pour vos affaires. Apprenez une nouvelle assez fâcheuse.
BARTHOLO. Pour vous ?
BAZILE. Non, pour vous. Le comte Almaviva est en cette ville.
BARTHOLO. Parlez bas. Celui qui faisait chercher Rosine dans tout Madrid ?
BAZILE. il loge à la grande place, et sort tous les jours déguisé.
BARTHOLO. il