ACTE II, SCEN*E XII, 1*^^
M A. Il A M E MURER.
Nous n'en savons pas tant.
EUGÉNIE.
où pourrons-nous le trouver, monsieur?
I. E BARON.
,En quel lieu loge-t-il .
LE c A r I T A I \ E .
Ma foi , je n'en nais rien ; mais je lui ai faîi jmo- mettre de me venir voir. J'arrangerni son affaire ; j'ai quelque crédit, comme vous savez.
MADAME MURER, didaigiictiscmeiit.
La seule chose dont nous ayons besoin ,cst juste- ment celle que monsieur ignore.
I, E C A P ITA I NE,
Mais, madame, je n'ai pas pu le prendre à la gorge pour lui faire déclarer sa demeure ; et , pu li- sant tont-à-rhenre le billet du baron, je croyois de bonne foi le rencontrer ici.
MADAME M U R E R.
Cela est d"autant plus malheureux . que . dans le besoin oii il est d'un protecteni-, nous en avons nu qui peut l)eaucoup auprès du ministre.
r. E c A p I ï A I N E.
Ob ! ce pay.s-ci est tout plein de gens qui fout profession de pouvoir plus qu'ils ne peuvent réelle- ment. Quel est-il ? ,1e vous dirai bientôt...
MADAME MURER, déJuigueuscincnt .
Ce n'est que le comte Clareudon.
LE CAPITAINE.
Le neveu de milord duc ?
MADAME MURER.
Pas davant.nge.
I, E CAPITAINE,
Je, le crois. Son oncle l'idolâtre : il est fort de mes amis. Je me charge , si vous voulez..,
16.
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