i<)2 EUGÉMÊ.
SCENE IL
DKINK, ROBEPiT.
D R I îî K , revieut premlre la malle. Que cela t'arrive encore !
ROBERT.
Voila bien du bruit pour rien. (Ils enlcTent une rn-ille , et sortent. )
SCENE III.
EUGENIE, BETSY.
( Eugéuie sort de chez elle ; elle marcbe lentement comme quelqu'un enseveli dans une rêverie profonde. Beizv, qui la suit, lui donne un fauteuil; elle s'assied en portant son mouchoir à ses jeux, sans parler. Betsj la considère quelque temps, fait le geste delà compassion , soupire, prend d'autres hardes , et rentre dans la chambre de sa maîtresse.)
SCENE IV.
EUGENIE, assi>e, d'un ton bien douloureuï.
J "ai beau rêver, je ne puis perer l'obscurité qui m'environne. Quand je clierche à me rassurer, tout m'accable... Personne dans le sein de qui répandre ma douleur... (Les valets viennent chercher la deuxième malle , Eugénie reste en silence tant qu'ils restent dans le salon. ^ Des valets à qui je n'ai jilus nièine le droit de commander. Une seule démarche hasardée m'a mise
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