Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/43

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PAULINE.

Qnc Tons êtes injuste ! .l ’ai va tout ce qu’il a écrit rn votre laveur. _

MÉLAC FILS.

On fait voir ce qu’on veut.

PAULINE.

Vous VOUS plaisez liica a l’accuser,

MÉLAC FILS.

Pas tant que vous à ie défendre.

PAULINE, Cachée.

Vous m’impatientez. Depuis s’>n départ , il f’ant donc se résoudre a voir toutes nos couversaîious remrer dans celle-ci?

MÉLAC FILS. iV\w air fin.

Allons . la paix. — Ils ont ensuite parlé de votre élablissetuent... du mien... Mon nere m’a faii sijrne , je me suis retiré ; niais , en soitant, j’ai entendu qu’il disoit un mot... Ali .’ Paulme...

( 11 veut lui prendre la main. )

PAULINE, se recule.

Eli bien , monsieur!

MÉLAC FILS.

Un certain mot...

PAULINE, Finterrrimpt.

Te ne suis pas curieuse, — l’arlons de la petite fête que nous préparons à mon oncle, à l’occasion de ses lettres de noblesse : v songez-vous.’

MÉLAC FILS.

J’ai tout arrangé dans ma tète. Nous commencerons par un conrert ; peu de monde, nous et no.s maîtres. Sur la lin on viendra l’avertir qu’nn le demande, l’endant son absence . un tapis , deux paravents feront l’ai’laire, et nous lui donnerons la plus jolie petite pièce...