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Page:Beaumarchais - Œuvres choisies Didot 1913 tome 1.djvu/52

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i5 LES DEUX AMIS.

SCENE VIII. M E L A C PERE.

Qui croiroit qu'un ijarcoii aussi simple fût le f;iit fl'uQ homme Louillant . d'Auielly ? sa rtgl,' est as- sez juste. Alix gens de cet éiat,uiuins Jtspiit, moius de corruption.

SCENE IX. DARINS, MELAC PERE.

mélac pert. On vous cherche, raousieur Dabins.

D A B I N s , d'un air cffra' é.

Depuis une lieure , monsieur, j'épie le njoraent de voiis trouver seul.

MÉLAC PERE.

Que me voulez-vous ;'

D A c 1 N s. Puis-je parler en liberté?

MÉLAC PERE.

Vous êtes pâle , défait , votre voix est trem- bbute !

DABINS.

Ah , monsieur !

MÉLACPERE.

Expliquez- vous.

D A B I X s.

Comment vous apprendre le malheur...?

M É L A c PERE.

Sortez de ce trouble ; parlez.

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