ACTE I, SCENE ÏX. ty
D A B I N s.
Cette lettre que je reçois à rinstant...
M É I. A C P E K E.
Que dit-elle de sinistre?
D A B I N s . Yous aimez monsieur Aurelly ?
MKLAC PERE.
Si je l'aime ! Vous me laites trembler.
I) A B 1 N s.
A mt>ins d'un miracle, il faut qu'il manque à ses paiements demain. Il faut....
MÉr. AC PERE, regiirlaiit de Ions cotes.
Malheureux ! si qtielqu'uu vous entciidoit... Vous perdez le sens... D'où savez-vous...? Cela ne sauroit être.
D A B I NS.
J'ai prévu A'otre surprise et votre douleur; mais le fait n'est que trop avéré.
M ÉI, AC PERE.
Avéré ! dites vous ? (à part.) Je n'ose l'interroger, (haut. ) Monsieur Dabins , songez-vous à l'impor- tance....' Il m'a troublé.
D A B I TÎS.
Monsieur Aurelly avoit, à Paris, pour huit cent mille francs d'effets.
MÉLAC PERE.
Chez son ami mon.sieur de Préfort, je le sais. D A B 1 N s.
11 me dit , il y a quelque temps , d'écrire à ce cor- respondant de les vendre, et dr^ m 'envoyer tout le papier sur Lyon qu'où pourroit trouver.
MÉLAC PER E.
Après?
U A B I N s.
Au lieu d'argent c^ue j'atteudois aujourd'hui, son I. 2.
��/
�� �