20 LES DEUX AMIS.
D A B I N s.
A peiné le sixième de ce qu'il nous faut.
MÉLAC PERE s'arrête. Monsieur Dabins.
I) A B I N s.
Slonsieur.
MÉliACPERE.
OÙ est votre courrier.
D A B I ir s. Je ]"ai fait cacher.
SlÉLAC PERE.
IMonsieur Dabins . allez m'attendre dans mon ca- binet. Ne voyez personne, enfermez-vous, enfer- jj)cz-vous soigueu.'>emeut. Je vous rejoins , j'ai be- soin de me recueillir...
DABINS.
Sur la manière de lui annoncer...?
M É I, A r PERE.
C'est lui. Partez, sans dire un mot.
SCENE X.
MELAC PERE , DABINS, AURELLY.
A U R E I, L T.
Bonjour, IMélac. Ah ! te voilà , Dabins.^ J'ai trou- vé l'af^ent de change qui te cherche ; il emporte mes deux effets suf Pétersbourg. Eh bien , nos fonds de Paris. ( Il ôtc son c|)t'e qu"il jio.se sur une chaise. )
BIÉLAC PERE, TivcniCUt.
C'est ce dor.t i) me parloit, en nae demandant si je n'avois pas quelques papiers à échanger pour sim- plifier son opération.
AUR E LLT.
Comme tu es ronge , Mélac I
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