ACTE I, SCENE XII,' aS
SCENE XII. aiELAC PERE, PAULINE, AURELLY,
P A U I. I N E , Ualjillée.
Ah.' voilà mon oncle de retour.
wÉLAc PERE, à part , avec iluuleiir. Et sa uiece!
PAULINE.
l'onjour , mon cher oucle : avez-vous mieus re« pose cette nuit (^ue la précédente?
AURELLY.
Fort Lien : et toi .*"
PAULINE.
Voti-e conversation si sérieuse du souper m'a lia peu agitée : elle m'a laissé une impression... j'ai peu dormi.
AURELLY, en riant. Nous aurons soin ù l'avenir de monter nos bavar- dages sur un ton plus '.'ai. Nous ne devons pas trou- bler Iks nuits de celle qui nous rend les jours si llgréables. ( Pauline l'cniLiasSi . )
MÉLAC PERE, à part.
Sa sécurité me perce l'aiiie.
AUR È llV. AU ca ! mon enfant , quel amusement nous disH poses-tu aujourd'hui.
PAULINE.
Cet après-midi , grand assaut de musique entre l'obstini.- Mélac et ilioi : vous serez les juges. Vous savez qu'il donne la préférence au violon sur tout autre iusirumeut.
AUR ÈLLY, gaiement.
Et toi, tu défends le clavecin à outrance.' BEAUMARCHAIS. I. 3
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