a4 I-ES DEUX AMIS.
A U R E I. I. T.
Oui, flétri. S'il est ii);ilhfureux, entre mourir et paroîtte iudigne de vivie, le choix est bientôt Tait, je crois; qu il menre de doiilCjUr ; mais que sou exemple !errihle augmente la pradeuceou la boaue- foi de otux qui l'ont sous les yeux.
1UEI..VC PERE . s'eclja;:fr,iul.
Tous cond.iiunez , sans distinctioa ,à l'opprobr* un infortuné comme un coupable .•"
A u REI. LY.
Je n'y mets pas de différence,
M É I. A C PERE.
Quoi I si l'un de vos amis , victime des évêne- menls...?
A i: R E I. I. Y. Je serols son juge le plus sévère.
SIELAC PERE , le regardant fliiiucnt. Si e'étoit moi.'
AU RELIT.
Si e'étoit toi... Son air me fait trembler.
RJÉLAC PER,E.
Vous ne répondez pas ?
A r R E 1. 1. Y , fi erenicnt. Si e'étoit vous..? (avec pffusiou. ) !Mais première- ment, tu n'es p.Ts négociant : et \oilà comme tu fais toujours : quand tu ne peux convaincre mon esprit, tu attaques mon cœur.
MÉLACPERE, à part. () ciel ! comment lui apprendre....'*
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