ACTE II, SCENE I. 5i
Il faut avoir de grands titres , [)our user de pareils privilèges.
MÉLAn FILS.
Ali , Pauline ! il arrive , et vous plaisante/, ! PAULINE, sérieusemeul.
Brisons là, fe vous prie, l'eul-èlre auriez.-vpusà vous plaindre de moi, si quelque autre avoit lieu de s'en louer.
MÉLAC FILS, iivpc feu. Ce Saint-Alban me l'ait treirbler ; otez-moi celte inquiétude.
r AULI N E.
Que vous êtes importun!
MELAT FILS.
Défendez-moi seulement d'en avoir.
PAU LI N E.
Oh ! quand il veut une chose..! ( étoiinlimoiil. ) Si je vous le défends , m'ohéirez-vous.*' M K L A o FILS, lui Laisaut les maius avec tiausport. Ma chère Pauline !
PAULIWE, s'écliappant. Toujours le même ! on ne peut dire un mot , sans t'ire forcé de quereller, ou de vous fuir. ( elle sort. )
SCENE II.
MELAC FILS, avec joie.
« M'ohéirez-vous..! » A-t-elle mis dans ce peu de mois tout le sentiment que j'y aperçois.^ « M'obéi- rez-vous! » Mais pourquoi cet heureux présage €s!.-il troublé par l'arrivée du fermier général .i*
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